11 ian. 2009

NIHIL

Destruction Des Âmes... Ombres Salvatrices Douleur, souffre ombre du temps. Cce fut un sortilège. Le ventre de l'insipide naissance. Royaume moribond. Tu infliges l'écorchures de ma mort Chair tu enveloppes sous tes souillures perverses Tu poses les corps sur des piliers en sanglots... Méprises la présence telle des ombres Qui s'échappent du vent sommeillant S'éveillera comme les ténèbres d'une évidente lumière Lumières destructrices. Ténèbres d'où puise les transcendances Transcendances d'un plasma qui claustrophobe mon âme. Ame d'une douleur d'un hiver sans fin. D'une aube sans fin Eclaire les ombres dans leurs chemins. Eclaires, ombres d'existence et de temps vers la pureté Délivres les corps de l'immonde sortilège. Aux bas fonds qui parjurent la douleur mystique. Et diffuse l'aura d'une charnelle aube Délivres l'espace de son regard et de sa dépression Délivres, perfore la pudeur des cieux. Pour les ombres.qu'ils furent Délivres... Blessures. Enfonce le couteau... Pour y verser la pureté Et nous délivrer Et nous délivrer A jamais. __________ Gazing The Throne Of Sky By The Great Revenche Enfer.nous voguons vers l'obscurité. Obscur que nous fûmes. Nous renaissons des cendres. Hérétique passage de vie. Nous crions la mort Celle du seigneur. Et des lueurs Vermines lueurs. Seigneur tu n'es que carcasse blême. Enfoncerons a germe d'une larme de destruction Nous enfoncerons l'infection aux créations. Crier aux morts qui résident des cieux. Sur le trou noir nous y passerons. Tous.enfer vous le goûteriez Cieux et terres. Crier Et nous sommes l'enfer. La revanche de vie... Crier aux sanglots de la perte des vertus et des morales Morts... obscures que vous êtes. Célébrons. Pauvres passagers. Rien n'est à l'ordre. Tous vermines en enfer... __________ Neant, Douleur Et Sang Regneront... Reveile toi de ton incessante faiblesse, Et realisé combien ta faiblesse nous à coutée, Regarde le sang sous tes pieds, Toute cette atroce puanteur, Tout ces corps maudits et errants pour l'eternité, Voie cette chair fumante laisser couler son sang le plus moisi Regarde ce que tes dogmes ont fait, Par ton incessante admiration pour ton dieu incompetant, Ton âme doit disparaitre à tout jamais Ton sang, ta douleur, et ta viande puante disparaîtront de notre royaume A tout jamais... Pour qu'un jour les anges salvateurs viennent nous enlever de ce monde Pour que le maître de nos nuits relêve les damnés de cette planéte funebre J'implore la douleur pour cet instant, Pour que celle-ci extemine à tout jamais cet croyance si faible en elle Les espris de la forêt m'apelle au combat A la lutte contre les dieux Contre ces subconscients stupide et inscousiant Contre ces âmes et cet aura si saine Pour que chaos et nean régne pour l'eternité... Je vous maudit vous ne meritez pas la vie, Je vous maudit inscousiant que vous êtes, Je vous maudit jusqu'à la mort... Que cet hîmme funebre reveille ton âme et aille jusqu'a ta perte...

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